O tempora, o mores, ainsi périt la Langue,
Enfermée dans son temple, enfermée dans sa gangue
Ou mourant sans merci au fond de son tombeau
Moi je cherche le Mot, et j’entends dans le loin gémir un corbeau.
O tempora, o mores, ainsi périt la Langue,
Enfermée dans son temple, enfermée dans sa gangue
Ou mourant sans merci au fond de son tombeau
Moi je cherche le Mot, et j’entends dans le loin gémir un corbeau.